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Le Top 10 des articles machinisme qui vous ont le plus plu en 2025

Pour s'imposer sur le marché européen, Versatile compte notamment sur sa gamme Nemesis.

De l’offensive des tracteurs canadiens Versatile en Europe aux 30 ans de la Lexion en passant par l’annulation de l’AgriSima, le record de labour pour un robot ou les refus de financement qui se multiplient dans les concessions, l’année 2025 du machinisme agricole s’est révélée pleine de surprises, de tensions et d’innovations.

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Pour celles et ceux qui sont passés à côté cette année, nous avons compilé les 10 articles de la rubrique machinisme qui ont été le plus lus en 2025. Un classement idéal pour une session de rattrapage au coin du feu et une séance de lecture revigorante après un réveillon copieux…

Le constructeur Versatile a profité d’Agritechnica pour lancer son opération séduction sur le Vieux Continent. Au cœur de son offensive, la gamme Nemesis et ses cinq modèles de 170 à 255 ch. Des concessionnaires de l’Hexagone sont déjà sur les rangs. À lire : « Des tracteurs canadiens à la conquête de la France et de l’Europe »

La hausse du prix des matériels et les difficultés économiques rencontrées par les agriculteurs, notamment en grandes cultures, ont conduit les banques à serrer la vis au niveau des crédits. Le système est grippé et ne semble pas vouloir repartir à courte échéance. À lire : « Les refus de dossiers de financement se multiplient dans les concessions agricoles »

Hervé Defrancq entend faire fructifier le travail de son père, Hubert, qui a bâti les fondations du constructeur Laforge. (© Terre-net Média)

À la tête du spécialiste du relevage avant Laforge, où il a pris la suite de son père, Hervé Defrancq, passé par une école de commerce, est l’un des plus jeunes membres du conseil d’administration d’Axema. À lire : « À 41 ans et déjà patron, il incarne la relève du machinisme à la française »

Les réalités économiques auront eu raison des ambitions des organisateurs de l’AgriSima. L’évènement, qui devait se tenir du 22 au 25 février 2026 au Parc des expositions de Paris-Nord Villepinte, est annulé. Un report pour 2027 ou 2028 est évoqué. À lire : « Le salon AgriSima 2026 n’aura pas lieu ! »

L’AgBot a été brièvement arrêté pendant la nuit pour faire le plein, la seule intervention humaine en 24 heures lors de son record de labour. (© AgXeed)

Une machine du constructeur néerlandais AgXeed, équipée d’une charrue réversible à 5 corps Kverneland, a réalisé une performance de labour inédite. À lire : « Un robot laboure 20,8 ha en 24 h, un record pour une machine autonome »

Après avoir conquis la Bretagne, le géant de la distribution automobile Emil Frey étend son réseau jusqu’en Normandie avec l’annonce de la reprise du groupe Douillet. À lire : « Emil Frey s’est offert 23 concessions Case IH et New Holland en un an »

Claas a révisé les capacités de trémie de la Lexion à la hausse. (© Claas)

Le constructeur allemand Claas rajoute un modèle de Lexion dans la série, la 8 500, qui affiche 549 ch. La cabine a également fait l’objet d’un soin particulier avec des équipements supplémentaires. À lire : « Trémies XL, moteurs boostés… La Lexion de Claas fête ses 30 ans en beauté »

Dans la série « Matériel, charges, prix… Les agris parlent machinisme », le témoignage de Didier Bozec, 54 ans, installé depuis 1996 en individuel, puis avec sa femme Isabelle en 1999, à Lopérec (29) sur 89 hectares (en transition pour arrêter la production de lait, 21 têtes pour l’engraissement). À lire : « Je préfère rester avec du matériel simple qui est source de moins de pannes »

La nouvelle Série 8 embarque un moteur N67 fourni par FPT, de 6,7 l de cylindrée, qui délivre un couple maximal de 1 398 Nm. (© Deutz-Fahr)

Le constructeur allemand Deutz-Fahr met – « enfin » diront les plus impatients – à jour l’habitacle de ses tracteurs, baptisé SigmaVision, en dévoilant au passage deux modèles de la Série 8 TTV de 313 et 340 ch. À lire : « Deutz-Fahr bascule dans une nouvelle ère avec une cabine moderne »

Dans la série « Matériel, charges, prix… Les agris parlent machinisme », le témoignage de Vincent Aubert, 54 ans, dans la Meuse (55), en polyculture-élevage sur 240 hectares (50 en herbe et 190 en cultures) avec 40 vaches laitières. À lire : « Si on devait tout acheter, on mettrait en péril nos finances »

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